Atelier d’écriture

2 au 4 septembre 2022 : Création littéraire : Écrire son « moi »  Oser se dire et s’écrire, assumer son ou ses dévoilements… Voilà tout le défi de l’autobiographie !

16 au 18 septembre 2022 : Création littéraire : Écrire la nouvelle    Raconter de bonnes histoires en peu de pages et dans des mots justes, forts et efficaces… est tout un art ! Un art qui s’apprend, heureusement !

Je donne ces ateliers chez Nouaisons, un organisme agriculturel qui me tient à cœur. Il reste quelques places. Voir le lien ci-dessous.

Nouaisons, c’est une initiative artistique et culturelle à Scott, en Beauce, à 20 minutes de Québec.

Dévoilement de la nouvelle codirection du Mois de la poésie

Suite au départ de Juliette Bernatchez et Vanessa Bell – que le Conseil d’administration remercie encore une fois chaleureusement pour l’immense travail accompli – le Bureau des affaires poétiques est heureux d’accueillir Anne Peyrouse comme première codirectrice de ce nouveau duo pour la quinzième édition du festival qui se tiendra en mars 2022!

Anne Peyrouse est poète depuis son tout premier livre Dans le vertige des corps qui a obtenu le prix Félix-Leclerc, donné par le Festival International de la poésie de Trois-Rivières, en 1999. Néanmoins, comme écrivaine, elle explore plusieurs formes littéraires, du roman à la nouvelle en passant par le poème en vers ou en prose et le haïku. Désirant faire éclater les frontières entre les arts, sa pratique poétique l’amènera à travailler avec différents chorégraphes et danseur.euse.s; d’où naîtra le spectacle intitulé Grand Jeté d’encre mis en scène par le chorégraphe Daniel Bélanger et sa compagnie Code Universel, spectacle faisant le tour du Québec avec le programme La Danse sur les routes, saison 2014-2016.

Sa passion pour la littérature et l’écriture l’a menée à travailler comme directrice littéraire dans plusieurs maisons d’édition ; actuellement, elle poursuit cette implication aux éditions Hamac et Hamac-Carnets, Productions Somme toute — où elle a créé en 2021 la collection Hamac poésie et Hamac illustré. Elle enseigne depuis de nombreuses années la création littéraire à l’Université Laval au Département de littérature, théâtre et cinéma. Elle a reçu le Prix d’innovation en enseignement de la poésie 2015, donné par le Festival International de la poésie de Trois-Rivières.

Site web : annepeyrouse.com | Instagram: @annepeyrouse | Facebook : annepeyrouse

grand jeté d'encre

Vente de livres

Vous pouvez acheter certains livres en passant par la page contact. Il suffit de préciser votre commande et de m’envoyer votre paiement (virement interac ; attendre la confirmation à votre courriel, car je n’ai pas un grand inventaire de certains livres). Les livres disponibles sont : Grand Jeté d’encre (20$), Des Neiges et des cendres (12$), Slam ma muse (25$), Slam ma muse 2 (25$). Frais de poste compris ; si vous achetez deux livres, à enlever 3$ pour l’envoi postal. Si vous désirez une dédicace, me l’indiquer dans votre commande (nom à qui adresser la dédicace ; Grand Jeté d’encre est un très beau livre à offrir, car rehaussé par un grand nombre de photographies).

Ces fenêtres où s’éclatent leurs yeux

Ces fenêtres où s’éclatent leurs yeux

Recueil de poèmes
Nous retenons le recueil d’Anne Peyrouse à cause de l’audace de sa proposition qui s’interroge sur la pornographie en direct, sur Internet. Elle s’intéresse à la fois à celles qui sont devant leur webcam et aux consommateurs. « EUX disent : “ça m’dépanne que tu sois en vie. / Ça m’dépanne, ta caméra bien placée.” / EUX / ils espèrent / les fellations 3D. » Radicale, cette proposition s’annonce dérangeante.

Hugues Corriveau– 23 janvier 2021 – Le Devoir.


Entrevue radiophonique à Plus on est de fous plus on lit avec Marie-Louise Arsenault

 

 

Encore temps de rebrousser chemin

Encore temps de rebrousser chemin

 Recueil de nouvelles, contes et récits
« J’aimerais que l’on retienne que chaque nouvelle est un morceau d’écriture différent, que chaque nouvelle donne la permission au créateur de travailler son langage de façon très différente. Oui, il y a un noyau, mais chaque texte doit aussi se ressourcer dans le langage et c’est ce travail sur le langage qui me fait vibrer, comme quand j’allais chez mon ortho. Ce jeu, cet aspect ludique, le plaisir de chaque texte qu’on lit de façon différente. »

Sarah-Émilie Nault, 28 novembre 2020, Journal de Montréal

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